Benoit XVI, objet de tous les
quolibets, est une cible facile pour de petits intellectuels qui valorisent
uniquement l’opinion du plus grand nombre pour éviter de vieillir !
Elles deviennent insupportables
toutes ces allégations vulgaires.
Pourquoi ne s’en prennent-ils pas
aussi au Islamistes, aux musulmans ? Non surtout pas… On est raciste
alors ?
L’opinion justifie la loi.
Ceux qui veulent afficher des
valeurs, de manière non violente, sont la proie des roquets de service, des
abrutis par les faux semblants de liberté qui deviendront à moyen terme les fossoyeurs
de la richesse des différences.
La religion est l’objet de tous
les délices.
On parle de ce qu’on ne connait
pas. Toutes religions méritent d’être analysée et pas vilipendées.
La laïcité, l’irréligion devient
le sacré des heures qui s’égrènent sans but.
Même le plaisir, érigé en absolu,
n’a plus de secret. On cherche plus loin les règles de l’absurde moyen de
supporter la vie au quotidien.
Que faire de ces outils d’analyse
qui ne sont que des phrases qui « tapent » mais sont vides de sens.
Le smartphone, et oui encore lui, rejoint les règles communes comme libérateur,
mais de quoi ?
Tout devient prétexte à plus de
sociabilité pour des minorités qui, elles, ont bien compris la mécanique :
affirmer avec n’importe quels outils des banalités dignes des débuts de
l’homme.
C’est vrai que les églises se
posent des questions comme d‘autres d’ailleurs moins organisés.
Pourquoi les micros-trottoirs
autorisent n’importe quoi ?
Un peu de filtres, un peu de
choix. C’est le premier rôle d’un journaliste…
C’est plus simple de se moquer au
nom du jeunisme et de la modernité vide de sens, d’un homme de plus de 80 ans qui veut défendre
ses idées, celle d’un groupe.
Journaliste n’est pas philosophe?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire