dimanche 24 octobre 2010

AVOIR SA GUERRE, LES AUTRES ON S EN MOQUE !

Si le financement de nos retraites est une cause nationale mais aussi individuelle, doit-on supporter le dictât d'un petit nombre?
Tout devient possible dans la plus totale impunité.La démesure n'est même pas drole
quand les stationnements interdits(bien entendu pas les manifestants) sont toujours verbalisés pendant que l'économie s'effondre.
On parle de la CGT, on ne parle pas des pompistes qui ne vont plus vivre...on s'en moque !,. On parle de 8% des français syndiqués pendant que le reste supporte dans le cadre d'un silence qui devient complice. Bien entendu, on part en vacances, on reprendra les manifs au retour...
A quand la grève des médecins, qui ainsi ne soigneraient plus, n'opéreraient plus !
A quand les pompes funèbres qui n'assureraient plus leurs fonctions!
A quand la grève des distributeurs d'eau ?
A quand, le blocage des compétitions sportives ?

N'est-il pas temps de se bouger un peu, de prendre les mesures qui s'imposent.
Arrêtons de laisser faire.

Je suis pour le débat. OUI, partout, Oui mais pas dans des extrémismes insupportables pour les plus modestes.

Quand on voit des poussettes dans les manifestations, ne sommes-nous pas tombés bien bas ! Quand on voit des lycéens vociférer sans connaissances réelles du monde de l'entreprise pour avoir au moins des bases de discussion!
Où allons-nous.
Pire, quand on entend dire qu'il faut pour cette jeunesse, "leur guerre", leur incivilité formatrice...

C'est vrai que nous payons aujourd'hui le laxisme "soixanthuitard" !
Rassurez-vous il n'a pas changé, la société et les possibilités de toujours mieux vivre des classes les plus aisés aussi ! Il a ruiné ceux qui pouvaient espérer.
L'ascenseur social est toujours au point mord pour les mêmes, ceux qui ont cru écouter les "prophètes" de l'époque, "gosses de riches sur les barricades"! depuis ils ont hérité, placé l'argent de leurs parents quelque fois multiples et comme ils avaient la parole, expliquaient que le travail est inutile, que la providence est étatique etc....
Les bourgeois de la révolution française sont les mêmes en 68. Les pauvres le sont restés. L'aristocratie a changé de nom.
Elle est devenue moins cultivée et toujours aussi efficace.
L'histoire est un éternel recommencement. Pas bien beau tout cela !
On a envie d'une nouvelle chance, d'un nouvel élan, d'un nouveau devenir.
Oui, la politique peut changer les choses. C'est le dernier lieu de la démcoratie si on lui redonne ses lettres de noblesse.

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