jeudi 28 février 2013

LE CARDINAL JEAN HONORE DEMEURERA DANS MA MEMOIRE







Son sourire irradiait,
avec la lucidité d'un homme qui gaspillait pas les mots
sauf s'il savait l'efficacité pour rassurer
.



(de gauche à droite: jean-Yves Couteau -
Son Emminence le Cardinal Jean Honoré-
Philippe Briand-
Monseigneur Bernard Nicolas Aubertin-
Son Excellence Monsieur l'Ambassadeur de Pologne en France-
Le père Christophe Raimbault)








Le Cardinal Jean Honoré dévoile la plaque inaugurale
des nouveaux locaux de l'Ecole Saint-Jospeh à Saint-Cyr-sur-Loire













Le Cardinal Jean Honoré - Premier Chapiteau du Livre - 2009-















Je veux avouer que cette nouvelle qui a voulu que Benoit XVI renonce presque heure pour heure, et Jean Honoré disparaît, que je suis très ému.
Je viens de perdre un vrai ami.
J'allais le voir souvent.
Je l'ai connu, il y a longtemps et demandé de venir à St Cyr pour, l'inauguration de locaux de l'École St Joseph, la place Jean Paul II, puis comme premier auteur du Premier chapiteau du Livre.
Nous étions devenu très proche. J'allais le voir régulièrement à son domicile, et autour d'un apéritif. Nous parlions de la vie publique qui le passionnait. A coté de son attention, son écoute, c'était un grand intellectuel, notamment ses recherches sur avec John Henry Newmann "le converti d'Oxford" qui le fascinait.
On ne peut oublier son nouveau Catéchisme.. D'autres le diront mieux que moi. C'était le symbole de la rigueur, de la prière mais aussi un homme attentif à son temps, à sa Touraine.
Voilà un vrai ami qui s'en va.
Que l'espoir qu'il voulait toujours donner, l'accompagne."


(Vous pouvez retrouver Son Eminence le Cardinal Jean Honoré sur .www.saint-cyr-sur-loire.com - rubrique St Cyr tv)

samedi 23 février 2013

EGALITE ? pas pour tout le monde !

Jour de carence supprimé pour les fonctionnaires !

On ne peut pas dire que cette mesure soit une mauvaise mesure mais était ce le moment ?
Pourquoi un gouvernement socialiste qui veut plus d'égalité, privilégie une catégorie et oublie les autres ceux du privé qui eux sont frappés, malgré des salaires bien faibles, de trois jours de délais de carence.
Y aurait il des catégorie flattées et des méprisés ?
On accuse la droite de vouloir toujours donner aux mêmes quand aurait il été si nous avions voulu le faire exclusivement pour les salariés des entreprises. Pourquoi dresser les uns contre les autres avec de telles mesures, si clairement politiquement politicien ?
Ce n'est plus de l'amateurisme mais du copinage !

IMPOTS: C ' EST PAS MOI, C'EST L' AUTRE ! TOME 2 DE LA GESTION NORMALE

FACILE
Depuis quelques mois, on découvre la nouvelle politique, la politique normale, le changement. Oui en effet, il y en a !
La situation de crise découverte par nos gouvernants depuis mai 2012 a affolé les jeunes militants. Mon Dieu, on ne va pas pouvoir ouvrir les vannes ! On agite les populations sur des problèmes sociétaux qui n'en sont pas... la fumée s'amenuise et la réalité  revient vite.
Alors on matraque en impôts au plan national, encore pas totalement visible puisque les revenus amenuisés nouvelle formule apparaîtront clairement seulement l'année prochaine.
Alors, l'Etat augmente les impôts.
Dans une logique normale, il redistribue normalement aux collecitivités locales pour des investissements de proximité.
Et bien non ? et pourquoi ? pour déplacer la responsabilité de l'impôt sur les élus locaux qui, s'ils veulent poursuivre leurs programmes, reconnus par l'électeur,  vont devoir augmenter eux aussi les impôts. Partageons l'irresponsabilité ! Ils seront désignés comme gaspilleurs locaux !
Astucieux mais où va l'argent ? des communiqués de presse en veux tu en voilà mais où sont les décrets d'application notamment pour les entreprises seules capables de créer de la richesse qui pourra être redistribuée.
Nous sommes dans un concours du c'est pas moi c'est le Tome 2 de la gestion normale !

vendredi 22 février 2013

C 'est pas ma faute ! Le principe de com des socialistes !

Après les vieilles lunes, les projets societaux demandés par personne, les principes écologiques mis sous le boisseau, l'incompétence d'un gouvernement dramatique, voilà que revient la justification de la situation c'est pas nous c'étaient eux sous entendu la droite qui nous a amené dans cette situation.
Curieux tous ces enseignants qui enseignent la prise de conscience du temps qui passe des phénomènes extérieures à la volonté des élus, oublient quand ils sont au pouvoir cette base de toute réflexion.
Allons y alors, les 35 heures qui ont fichu en l'air la productivité de notre pays, la crise financière sans précédent sont des exemples à prendre en note.
On fustige le gaspillage des collectivités locales, pas faux, mais qui est au pouvoir, les amis du chef  et pas depuis hier !
Je crains que les français saisis par la rapidité de juger la différence entre la droite et la gauche n'accepteront, le "c'est pas ma faute" ne supporteront pas longtemps "l'irresponsabilité" de règle. 9 mois au pouvoir central mais depuis combien de temps au plan local ?
La complicité inavouée avec le Front National devient une règle dans la cohorte des bons mots sur la désespérance de mode par les grands intellectuels, les penseurs englués dans leurs certitudes face au gafouage gouvernemental.
Doucement les basses, on fait le lit de l'excès.

Fondation Rabelais : Les vraies questions ! ORSENNA, le merite de réflechir




Cette conférence doit être un évenement. Comment allons-nous vivre dans un urbanisme, un environnement protégé apr des règles d'urbanisme non "ghettoisante", la limitation des soifs immobilières, le vert dans la ville, mais que les bégonias joliiment disposés...
Voilà de vraies questions.
Merci à GDF SUEZ de nous avoir permis cette réflexion où chacun est invité.

Des bases pour les municipales à venir et venir encore !

vendredi 15 février 2013

TAPONS SUR L EGLISE ROMAINE … LA LAICITE L’IMPOSE ! … MAIS INTERDIT DE BLAGUER SUR L’ISLAM ! ….



Il est devenu de bon ton de rallier se moquer d’une église trop tolérante.

Benoit XVI, objet de tous les quolibets, est une cible facile pour de petits intellectuels qui valorisent uniquement l’opinion du plus grand nombre pour éviter de vieillir !
Elles deviennent insupportables toutes ces allégations vulgaires.
Pourquoi ne s’en prennent-ils pas aussi au Islamistes, aux musulmans ? Non surtout pas… On est raciste alors ?

L’opinion justifie la loi.
 
Ceux qui veulent afficher des valeurs, de manière non violente, sont la proie des roquets de service, des abrutis par les faux semblants de liberté qui deviendront à moyen terme les fossoyeurs de la richesse des différences.
La religion est l’objet de tous les délices.
On parle de ce qu’on ne connait pas. Toutes religions méritent d’être analysée et pas vilipendées.
La laïcité, l’irréligion devient le sacré des heures qui s’égrènent sans but.
Même le plaisir, érigé en absolu, n’a plus de secret. On cherche plus loin les règles de l’absurde moyen de supporter la vie au quotidien.
Que faire de ces outils d’analyse qui ne sont que des phrases qui « tapent » mais sont vides de sens. Le smartphone, et oui encore lui, rejoint les règles communes comme libérateur, mais de quoi ?
Tout devient prétexte à plus de sociabilité pour des minorités qui, elles, ont bien compris la mécanique : affirmer avec n’importe quels outils des banalités dignes des débuts de l’homme.

C’est vrai que les églises se posent des questions comme d‘autres d’ailleurs moins organisés.
Pourquoi les micros-trottoirs autorisent n’importe quoi ?
Un peu de filtres, un peu de choix. C’est le premier rôle d’un journaliste…
C’est plus simple de se moquer au nom du jeunisme et de la modernité vide de sens,  d’un homme de plus de 80 ans qui veut défendre ses idées, celle d’un groupe.
Journaliste n’est pas philosophe?

Voilà bien des formations à organisées.






 

LA VIE PUBLIQUE DEVIENT CHASSE-GARDEE DE LA RUMEUR


 
Chaque jour s’amalgame des accusations diverses et multiples sur la vie de ceux qui font, pour la gloire, le sport, le plus grand nombre ou plus que l’immobilité.

Tout est objet de jugement immédiat sans appel. La rumeur devient vérité. La justice se trouve face à son souci de mieux se faire connaître et les amalgames multiples. La présomption d’innocence, premier droit de l’homme, devient un paillasson pour faire du chiffre.
Tout le monde est complice. Celui qui défend et veut sa gloire, celui qui écrit si vite que personne ne peut répondre, celui qui achète pour se délecter d’une histoire vraie.
La turpitude même reconnue est obligatoire sauf si on reste caché, immobile et sans envie.
Le déchaînement se justifie par une violence incontrôlée ?

C’est vrai  comme partout, il y a des escrocs. Mais quand ils sont reconnus comme tel, pas avant.
Que de banalités en écrivant cela ! Mais il faut peut-être réagir.
Tous les soirs, on nous explique comme cambrioler, comme « passer » la drogue, comment elle n’est pas aussi dramatique qu’on veut bien le dire. N’oublions pas l’appétit de toujours transgresser la vitesse, le stationnement. N’oublions pas  la jalousie de ceux qui réussissent et qui sont toujours suspects par essence.

Ne pouvons-nous pas un peu avoir envie de faire, de s’entourer des plus justes conseils de savoir où ils se trouvent.
Sinon, nous allons droit dans le mur de l’inaction, le contraire de ce qui a fait de notre pays le fer de lance de ceux qui se bougent.
Ne donnons plus crédit à cette rumeur, inscrit dans les gènes des mauvais, elle paralyse beaucoup.

Je sais, on a le droit de rêver.