jeudi 30 octobre 2014

OU EST LA COHERENCE CULTURELLE

COHÉRENCE NE DOIT PAS DEVENIR UNE CHAÎNE DE MAUX !

Dans la Nouvelle République, j'ai découvert un nouveau salon littéraire à Tours. le mois dernier, j'avais, une première, réuni l'ensemble des adjoints des communes composant l’agglomération, en charge de la culture. Nous avons ensemble, toutes tendances politiques, acté le principe de ne pas multiplier les mêmes opérations dans nos communes. Avec l'équipe municipale de Tours précédente, c'était une règle respectée.

Le Chapiteau du livre, avec des efforts lourds, en lien avec une superbe association Les amis du chapiteau du Livre, est depuis 6 années d'existence un salon en progression. Il n'est pas le concurrent de la Foret des Livres. La rentrée littéraire appartient à mon ami Gonzague Saint Bris, le Chapiteau est un rendez-vous avant l'été pour faire provision de livres à lire pendant les vacances.
L'idée de Serge Babary, de faire de Tours la ville où on parle mieux le français est une très grande idée que je veux soutenir. 
Une condition: ne pas copier-coller un autre salon littéraire, deux mois avant le Chapiteau du Livre fin mai. 
Retrouvons-nous tous ensemble pour l’agglomération, nous sommes à quelques kilomètres les uns des autres. La cohérence culturelle ne doit pas être "un festival de mots" !

CIRQUE SUR L EAU, UNE MERVEILLE !

Avec mon ami, Cédric de Oliveira, Vice Président de Tours Plus et maire de Fondettes, nous avons voulu voir le spectacle du Cirque sur l'eau. Une merveille ! Un accueil chaleureux et une
envie profonde de faire découvrir le talent d'artistes internationaux. Il faut applaudir des deux mains. Bravo à toute l'équipe et vivement l'année prochaine pour une autre aventure sur l'eau, bien sur !
Un salut à ce Monsieur Loyal, en plus équilibriste de demain !

ETRE CANDIDAT

ETRE CANDIDAT MAIS DIRE POURQUOI !
J’ai annoncé ma candidature à poursuivre mon action pour le canton de St Cyr et si les électeurs me renouvellent leur confiance, à la présidence du Conseil Général devenu Conseil Départemental.
J’ai voulu par honnêteté annoncer la couleur. Il s’agit d’un programme pour dire ce que devrait être notre conseil départemental. Il faut être clair. Comment être dans l’incertitude face à l’état de cette institution de proximité ballottée dans les méandres des effets d’annonces, d’une absence de vision à long terme et d’une léthargie dans laquelle on se vautre pour ne pas choquer. On devient alors invisible, absent, en un mot on ne dit pas à nos électeurs : voilà mon contrat celui que je vous propose, pour vous, pour nous. Cette invisibilité, ce constant d’inexistence avouée n’est plus de mise. Les temps ont changé. Il faut se bouger, réveiller, valoriser avec clarté sans ambiguïté d’un faux consensus et d’une mollesse cachée ou excusée. On n’a plus le temps de ces effets de manches simplistes. Il faut dire haut et fort son engagement.
On ne promet pas la lune mais au moins de vouloir avancer.
C’est cela être candidat.

C’est cela être engager pour faire 
l’UNION EN MOUVEMENT avec LA JEUNESSE DE EXPÉRIENCE.

lundi 13 octobre 2014

CHRU, JE SUIS HEUREUX DE DEVENIR UN MODESTE ACTEUR.


LA GRENADIERE, UN CENTRE EQUESTRE DE REFERENCE


J'ai remis le Prix de la Ville de Saint-Cyr-sur-Loire lors du Concours Equestre de la Grenadière  le 6 octobre dernier. Beaucoup de concurrents et un vrai spectacle sportif. Ne pas manquer les prochains. Au centre de la Ville, ce centre est plus qu'une référence, il est un des fleurons de la Ville.
Bravo à Jean François Demieule
et ses équipes.

jeudi 9 octobre 2014

MEDAILLE JEAN MEUNIER

                                   Mireille Meunier-Saint-Cricq et Jacques Saint-Cricq m'ont remis dans une discrétion de mise, la médaille "Jean Meunier " pour saluer ma manière de voir la vie publique". Avec une immense émotion, ce geste personnel m'honore et me donne le rouge aux joues. C'est pas facile d'être fidèles à ses convictions et à une manière de voir les rapports humains . Je veux les en remercier avec une grande sincérité de cette attention symbolique.
Promis, je vais tenter de poursuivre dans le même sens. Je fais mienne cette citation au dos de cette médaille:
"Je veux, pour ma part, pouvoir penser et m'exprimer, lire tout ce qui s'écrit, passer les frontières de mon pays si un autre m'accepte, choisir un parti parmi plusieurs, croire en Dieu ou ne pas y croire, fréquenter selon mon gré l'église chrétienne, la synagogue, ou une loge maçonnique. Je récuse tout régime qui me refuse ces droits à quelque idéologie qu'il se réfère et de quelque netiquette qu'il se couvre..."
Jean MEUNIER (23 août 1969)

lundi 6 octobre 2014

JE VEUX UN CHRU DE TOURS A LA HAUTEUR DE SES TALENTS

Depuis quelques semaines, je prends le pouls de notre Hôpital de Tours !
Comme Vice-Président du Conseil de Surveillance, je découvre dans le détail les projets.
Une idée, celle qui me motive d'abord, est de renforcer la diffusion de l'information sur les talents trop cachés de notre Hôpital.
Il doit se doter des moyens pour faire connaître les compétences d'exception dont il regorge. Nous usagers, nous ne savons pas alors on suit les rumeurs habilement lancées. Paris c'est mieux !
Je ne sais si c'est vrai pour toutes les pathologies!
Notre Hôpital doit savoir garder raison et ne pas vouloir à tout-prix se diversifier tout azimuts.
Il faut soutenir les équipes qui avancent et qui réussissent.
Leur succès donnera une chance pour les autres de le faire aussi.
C'est simple mais complexe à mettre en œuvre. Il ne faut pas renoncer et avancer.

jeudi 2 octobre 2014

UNE NOUVELLE SAISON CULTURELLE A ST CYR


TOUJOURS PLUS FORT !




Toujours plus fort !
Bien sûr, les collectivités ont abusé.
Qui, en majorité, les dirigent ?
Les mêmes que ceux qui sont au gouvernement.


Hausse des impôts, et donc baisse des dotations : voilà le cocktail que devront ingurgiter les collectivités, après trois ans de diète.
- 2,071 milliards pour “le bloc communal” (communes et intercommunalités),
- 1,148 milliard pour les départements
- 451 millions pour les régions.

 On reprend le vieux refrain. Les communes riches vont trinquer.
“Si l’État veut soutenir l’investissement local, ce ne sont pas les collectivités aisées qui doivent être aidées”, selon Marylise Lebranchu, interviewée dans Acteurs publics. D’où un nouvel effort de “solidarité” avec les collectivités “les plus fragiles” en 2015.

Superbe, les communes bien gérées doivent les victimes des dépenses à tout va ! Certes des petites communes doivent être soutenues. Au lieu d’inventer un nouvel indicateur, qui deviendra dans peu de temps une règle, l’Etat socialiste recentralise pour maîtriser ses propres dépenses somptuaires.

D’autre part, et ce pour la première fois, le budget “Collectivités territoriales” fixera “un objectif national d’évolution des dépenses” des collectivités territoriales, un dispositif “indicatif”, selon le gouvernement et déjà en vigueur pour l’assurance maladie (Ondam).

“la libre administration des collectivités” constitutionnellement inscrite est en train d’être bafoué. On traîne les élus dans la liste des victimes faciles : les notaires, les pharmaciens, les huissiers….

A qui le tour ?

Toujours plus fort !