samedi 13 décembre 2014

BRAVO LE COLLEGE !


Ma fille 13 ans rentre du collège et me dit « tiens papa, on a parlé en cours d’Histoire des hommes politiques. Ils sont tous des menteurs pour arriver à gagner. Et toi ?.... »

J’ai cru rêver, une fois de plus. Comment dans un pays où l’incivisme se développe, ou l’inculture sur la société civile, ou l’absentéisme se développe dangereusement, un prof peut affirmer de telles âneries issues de réflexions de comptoir !

Les jeunes n’apprennent plus la structure institutionnelle. L’instruction civique c’est ringard ! Vous vous moquez du monde, chers enseignements qui à force de vouloir réfléchir comment il faut réfléchir s’empêtrent les pieds dans des débats qui justifient leurs absentéismes grandissants sous prétexte de formations ! Le mensonge c’est de ne pas apprendre comment fonctionne la société. On se passe de leurs appréciations personnelles de faux intellectuels vieillissants en plus.

Quand allons-nous dans ce pays, se bouger balancer les couleurs pour apprendre, oui apprendre avant de pouvoir affronter la vie qui vient. Elle ne sera celle de fonctionnaires mieux.

Heureusement j’en connais plein de « supers » qui croient à leur travail et qu’on ne peut pas payer et récompenser de leurs efforts. L’égalité elle est là.

L’instruction civique devrait être constitutionnelle. C’est notre démocratie qui en dépend.

samedi 22 novembre 2014

extrait Journal TV TOURS VAL DE LOIRE

jeudi 30 octobre 2014

OU EST LA COHERENCE CULTURELLE

COHÉRENCE NE DOIT PAS DEVENIR UNE CHAÎNE DE MAUX !

Dans la Nouvelle République, j'ai découvert un nouveau salon littéraire à Tours. le mois dernier, j'avais, une première, réuni l'ensemble des adjoints des communes composant l’agglomération, en charge de la culture. Nous avons ensemble, toutes tendances politiques, acté le principe de ne pas multiplier les mêmes opérations dans nos communes. Avec l'équipe municipale de Tours précédente, c'était une règle respectée.

Le Chapiteau du livre, avec des efforts lourds, en lien avec une superbe association Les amis du chapiteau du Livre, est depuis 6 années d'existence un salon en progression. Il n'est pas le concurrent de la Foret des Livres. La rentrée littéraire appartient à mon ami Gonzague Saint Bris, le Chapiteau est un rendez-vous avant l'été pour faire provision de livres à lire pendant les vacances.
L'idée de Serge Babary, de faire de Tours la ville où on parle mieux le français est une très grande idée que je veux soutenir. 
Une condition: ne pas copier-coller un autre salon littéraire, deux mois avant le Chapiteau du Livre fin mai. 
Retrouvons-nous tous ensemble pour l’agglomération, nous sommes à quelques kilomètres les uns des autres. La cohérence culturelle ne doit pas être "un festival de mots" !

CIRQUE SUR L EAU, UNE MERVEILLE !

Avec mon ami, Cédric de Oliveira, Vice Président de Tours Plus et maire de Fondettes, nous avons voulu voir le spectacle du Cirque sur l'eau. Une merveille ! Un accueil chaleureux et une
envie profonde de faire découvrir le talent d'artistes internationaux. Il faut applaudir des deux mains. Bravo à toute l'équipe et vivement l'année prochaine pour une autre aventure sur l'eau, bien sur !
Un salut à ce Monsieur Loyal, en plus équilibriste de demain !

ETRE CANDIDAT

ETRE CANDIDAT MAIS DIRE POURQUOI !
J’ai annoncé ma candidature à poursuivre mon action pour le canton de St Cyr et si les électeurs me renouvellent leur confiance, à la présidence du Conseil Général devenu Conseil Départemental.
J’ai voulu par honnêteté annoncer la couleur. Il s’agit d’un programme pour dire ce que devrait être notre conseil départemental. Il faut être clair. Comment être dans l’incertitude face à l’état de cette institution de proximité ballottée dans les méandres des effets d’annonces, d’une absence de vision à long terme et d’une léthargie dans laquelle on se vautre pour ne pas choquer. On devient alors invisible, absent, en un mot on ne dit pas à nos électeurs : voilà mon contrat celui que je vous propose, pour vous, pour nous. Cette invisibilité, ce constant d’inexistence avouée n’est plus de mise. Les temps ont changé. Il faut se bouger, réveiller, valoriser avec clarté sans ambiguïté d’un faux consensus et d’une mollesse cachée ou excusée. On n’a plus le temps de ces effets de manches simplistes. Il faut dire haut et fort son engagement.
On ne promet pas la lune mais au moins de vouloir avancer.
C’est cela être candidat.

C’est cela être engager pour faire 
l’UNION EN MOUVEMENT avec LA JEUNESSE DE EXPÉRIENCE.

lundi 13 octobre 2014

CHRU, JE SUIS HEUREUX DE DEVENIR UN MODESTE ACTEUR.


LA GRENADIERE, UN CENTRE EQUESTRE DE REFERENCE


J'ai remis le Prix de la Ville de Saint-Cyr-sur-Loire lors du Concours Equestre de la Grenadière  le 6 octobre dernier. Beaucoup de concurrents et un vrai spectacle sportif. Ne pas manquer les prochains. Au centre de la Ville, ce centre est plus qu'une référence, il est un des fleurons de la Ville.
Bravo à Jean François Demieule
et ses équipes.

jeudi 9 octobre 2014

MEDAILLE JEAN MEUNIER

                                   Mireille Meunier-Saint-Cricq et Jacques Saint-Cricq m'ont remis dans une discrétion de mise, la médaille "Jean Meunier " pour saluer ma manière de voir la vie publique". Avec une immense émotion, ce geste personnel m'honore et me donne le rouge aux joues. C'est pas facile d'être fidèles à ses convictions et à une manière de voir les rapports humains . Je veux les en remercier avec une grande sincérité de cette attention symbolique.
Promis, je vais tenter de poursuivre dans le même sens. Je fais mienne cette citation au dos de cette médaille:
"Je veux, pour ma part, pouvoir penser et m'exprimer, lire tout ce qui s'écrit, passer les frontières de mon pays si un autre m'accepte, choisir un parti parmi plusieurs, croire en Dieu ou ne pas y croire, fréquenter selon mon gré l'église chrétienne, la synagogue, ou une loge maçonnique. Je récuse tout régime qui me refuse ces droits à quelque idéologie qu'il se réfère et de quelque netiquette qu'il se couvre..."
Jean MEUNIER (23 août 1969)

lundi 6 octobre 2014

JE VEUX UN CHRU DE TOURS A LA HAUTEUR DE SES TALENTS

Depuis quelques semaines, je prends le pouls de notre Hôpital de Tours !
Comme Vice-Président du Conseil de Surveillance, je découvre dans le détail les projets.
Une idée, celle qui me motive d'abord, est de renforcer la diffusion de l'information sur les talents trop cachés de notre Hôpital.
Il doit se doter des moyens pour faire connaître les compétences d'exception dont il regorge. Nous usagers, nous ne savons pas alors on suit les rumeurs habilement lancées. Paris c'est mieux !
Je ne sais si c'est vrai pour toutes les pathologies!
Notre Hôpital doit savoir garder raison et ne pas vouloir à tout-prix se diversifier tout azimuts.
Il faut soutenir les équipes qui avancent et qui réussissent.
Leur succès donnera une chance pour les autres de le faire aussi.
C'est simple mais complexe à mettre en œuvre. Il ne faut pas renoncer et avancer.

jeudi 2 octobre 2014

UNE NOUVELLE SAISON CULTURELLE A ST CYR


TOUJOURS PLUS FORT !




Toujours plus fort !
Bien sûr, les collectivités ont abusé.
Qui, en majorité, les dirigent ?
Les mêmes que ceux qui sont au gouvernement.


Hausse des impôts, et donc baisse des dotations : voilà le cocktail que devront ingurgiter les collectivités, après trois ans de diète.
- 2,071 milliards pour “le bloc communal” (communes et intercommunalités),
- 1,148 milliard pour les départements
- 451 millions pour les régions.

 On reprend le vieux refrain. Les communes riches vont trinquer.
“Si l’État veut soutenir l’investissement local, ce ne sont pas les collectivités aisées qui doivent être aidées”, selon Marylise Lebranchu, interviewée dans Acteurs publics. D’où un nouvel effort de “solidarité” avec les collectivités “les plus fragiles” en 2015.

Superbe, les communes bien gérées doivent les victimes des dépenses à tout va ! Certes des petites communes doivent être soutenues. Au lieu d’inventer un nouvel indicateur, qui deviendra dans peu de temps une règle, l’Etat socialiste recentralise pour maîtriser ses propres dépenses somptuaires.

D’autre part, et ce pour la première fois, le budget “Collectivités territoriales” fixera “un objectif national d’évolution des dépenses” des collectivités territoriales, un dispositif “indicatif”, selon le gouvernement et déjà en vigueur pour l’assurance maladie (Ondam).

“la libre administration des collectivités” constitutionnellement inscrite est en train d’être bafoué. On traîne les élus dans la liste des victimes faciles : les notaires, les pharmaciens, les huissiers….

A qui le tour ?

Toujours plus fort !

dimanche 28 septembre 2014

ARRETONS LES VIEILLES GUEGUERRES !

L’udi ne doit pas se tromper de cible
Le retour de Nicolas Sarkozy ravive des tentations anciennes : celle de se tromper de cible.
Evènement, je ne sais pas, mais réalité à prendre en compte oui dans une opposition au socialisme mou. C’est cette cible qu’il faut atteindre.
L UDI se cherche un chef. Les procédures sont engagées.
Mais de grâce ne nous trompons pas d’adversaire. Les propos d’opposant à l’UMP ne sont plus de mise. Les Français en ont assez. Tous les leaders de l’UDI se bousculent dans les médias pour crier haro sur Sarkozy. Nous devrons nous positionner quand il aura fait des propositions.
Mais qu'elle est cette guerre ridicule ! Une guerre de positionnement ? Inutile, je préférai une guerre pour sortir notre pays du marasme dans lequel il est plongé. »

HALTE AUX GASPILLAGES DES COMPETENCES

LES PRÉFETS VICTIMES DE LA POLITIQUE
C'EST NOUS QUI PAYONS

Dans un excellent article d’Acteurs Publics reprenant le rapport de la Cour des Comptes, on s’étonne d’autant de compétences ignorées. Ces fonctionnaires de talent « au placard » continuent de percevoir leur salaire. C’est la moindre des choses. Ils sont peu à être des militants. Ils sont la conscience de l’Etat. Pourquoi se priver d’autant de capacités d’imagination ? à ce prix ?
Encore un gaspillage ……
« En 6 pages, les magistrats de la Rue Cambon critiquent une situation pourtant connue, mais qui perdure. Des pratiques, pour ne pas dire des dérives, qui conduisent à disposer par exemple de deux fois plus de préfets qu’il n’y a de postes territoriaux à pourvoir. En 2013, sur 250 préfets gérés par le ministère de l’Intérieur, 127 étaient affectés à un poste territorial (préfet de département, préfet de région…), 37 étaient en position de détachement, 12 en disponibilité, 1 en dehors des cadres et surtout 75 “hors cadre”. Ces derniers n’étaient que 44 en 1987, mais déjà 69 en 2005, c’est dire si la situation n’est pas nouvelle…
Parmi ces préfets hors cadre, on trouve des préfets en attente d’affectation – qui sont donc rémunérés à ne rien faire –, des préfets “exerçant des fonctions, en général pour plusieurs années, en dehors du ministère, mais restant payés par lui”, “des préfets exerçant des fonctions de responsabilité variées au ministère de l’Intérieur” et “certains préfets nommés en mission de service public”.

“Cette instabilité nuit à la continuité des politiques publiques et donc à leur efficacité, complexifie le partenariat entre État et collectivités territoriales”, écrit la Cour. “Elle va à l’encontre d’une évaluation sereine et objective des résultats obtenus par les intéressés, ajoute-t-elle. Il est ainsi illusoire d’asseoir une part variable de la rémunération, comme c’est le cas aujourd’hui, sur les résultats de certaines politiques de long terme, comme la sécurité publique ou l’emploi”. Acteurs Publics septembre 2014

dimanche 21 septembre 2014

UN HOMME DU CENTRE ET ANATOLE FRANCE

Discours en mémoire d'Anatole France, prononcé le 19 septembre 2015,
après le vernissage réalisé par la Ville de Saint-Cyr-sur-Loire et l'association Hommes et Patrimoine sous l'autorité d'Antoine Pin et le déplacement du buste restauré d'Anatole France dans le Manoir de la Tour à Saint-Cyr-sur-Loire
 
 
"Pendant le sommeil, notre cerveau génère l’oubli. Dans notre société en sommeil que se passe-t-il ?
Ce processus progressif ou spontané qui fait que l'individu ne peut se rappeler les souvenirs qu'il avait enregistrés. Il est cependant considéré comme bénéfique d'oublier une certaine quantité de souvenirs que le cerveau "juge" inutiles
« L’homme… s’arc-boute contre le poids toujours plus lourd du passé. Ce poids l’accable ou l’incline sur le côté, il alourdit son pas, tel un invisible et obscur fardeau... Toute action exige l’oubli, comme tout organisme a besoin, non seulement de lumière, mais encore d’obscurité… »  exprimait Nietzche.
Alors, on zappe, on vie plus vite pour croire exister. On veut bâtir une maison toujours plus haute et on oublie les pierres fondatrices.
Notre société, celle des bobos convaincus de leur supériorité disent le bien. Curieux dans leur déballage épuisant, ils ont oublié Anatole France.
 C’est moi, un homme du centre droit qui le dit.
"On croit mourir pour la patrie, on meurt pour les industriels"
« L’histoire n’est qu’un art, ou tout au plus une fausse science »
« Si l'infaillibilité du Pape en matière de dogme est d'ordre théologique, l'infaillibilité du Pape en matière de morale est d'ordre politique; c'est la mainmise sur toutes les consciences, c'est la direction temporelle des sociétés,
« Le lecteur n'aime pas à être surpris. Il ne cherche jamais dans l'histoire que les sottises qu'il sait déjà. Si vous essayez de l'instruire, vous ne ferez que l'humilier et le fâcher. Ne tentez pas l'éclairer, il criera que vous insultez à ses croyances (... ) Un historien original est l'objet de la défiance, du mépris et du dégoût universel. »
 
C’est un avant-goût de ce personnage si célèbre ici. Point n’est pour l’heure de développer, mais juste de ne pas s’étonner que les œuvres de cet auteur en 1922 feront l’objet d’une condamnation papale.
Ce créateur de l’humanité membre du Parti communiste (viré par ses pairs ensuite) avait la bourgeoisie dans le sang et la politique de soutien des plus faibles en ligne de front.
Cet ami de Jaurès, adulé, sera controversé, très controversé. Dans la ville du Chapiteau du livre où le livre fait son cirque quelle belle journée…
Son successeur à l’académie française, dans son discours de réception ne citera pas une fois le nom de son prédécesseur.
Anatole était la peste, « un exécrable histrion de l’esprit » André Gide le jugea comme un écrivain « sans inquiétude » « qu’on épuise au premier coup ».
Anatole n’aimait pas la science. Il a voulu valoriser la force de l’imagination. Il ne supportait pas l’assurance des scientifiques parce qu’il ne savait pas doute, souligner les incertitudes.
Il va devenir une des consciences les plus significatives de son temps en s’engageant en faveur de nombreuses causes sociales et politiques du début du XXe siècle.
Les temps n’étaient pas les mêmes. On méprisait bien souvent les modestes, les serviteurs des machines infernales. Replaçons-nous dans l’époque. Son anticléricalisme lui colle à la peau.
« Les peuples, à mesure qu’ils se développent, rompent les bandelettes de la théocratie qui les enserraient dans leur enfance. » (extrait l’église et la république)
« La fixité des mots, qui désignent des choses mouvantes, trompe les esprits et cause de faux jugements »
Dans notre république, quelques fois, ce débat revient mais nous sommes loin de la présence de l’église dans le fonctionnement institutionnel.
 Je dirai OK mais surtout ne revenons pas en arrière avec d’autres églises qui ne constituent en rien le fondement de notre société.
L’équilibre doit être la juste raison. L’oubli n’est pas mérité pour cet auteur, illustre habitant de notre ville qui doit en garder le souvenir, ne doit pas tomber dans le soleil nouveau des gestionnaires hystériques, des petits comptables mais cela est un autre débat.
 
« La république... la corruption sans doute y paraît plus grande que dans les monarchies. Cela tient au nombre et à la diversité des gens qui sont portés au pouvoir» Extrait de L’Orme du mail
Anatole France était visionnaire !!!
Après le trop sérieux l’homme que nous avons connu avait de bon goûts :
« Une femme sans poitrine, c’est un lit sans oreillers.  » AF Extrait de La Rôtisserie de la Reine Pédauque
« De toutes les aberrations sexuelles, la pire est la chasteté.  »AF
 
Alors ce vieux monsieur digne en noir dont ma grand-mère me parlait dans sa jeunesse sur les quais de Loire à Tours, était une référence avec toute sa vigueur.
Mais je ne pourrai conclure cet hommage personnel que j’ai voulu rendre, sans retenir la sagesse de cette météorite foudroyante qu’il fut, quand il disait
« L’avenir est un lieu commode pour y mettre des songes.  »Extrait de Les Opinions de M. Jérôme Coignard
Je tenterai d’y mettre les miens, mais surtout mon cher Anatole, que Dieu me permette de les réaliser !"

samedi 6 septembre 2014

UNE RUE ANDRE GOUAZE, UN MINIMUM !

André GOUAZE (photo Canalblogcom)
C'est beau de partager modestement un honneur rendu à un homme d'immenses talents et qui a partagé avec ses fils une partie de son enfance.
Enfin la Touraine, elle met le temps ! honore un de ses grands hommes, grand professeur de médecine, chirurgien, André GOUAZE.
Faire sa biographie n'est pas mon rôle. L'université, la Faculté de Médecine, l'Etat l'ont fait mieux que moi.
Notons cependant qu'André GOUAZÉ fut ancien élève de l'École de Santé Navale et de la Faculté de Médecine de Bordeaux, Médecin de la Marine puis Professeur d'Anatomie et Neurochirurgien des Hôpitaux, Doyen de la Faculté de Médecine de TOURS (1972-94), Membre du Conseil National des Universités (1969-94), Président de la Conférence Nationale des Doyens (1980-94), Membre du Haut Conseil de la Francophonie (1985-2002).
Président Fondateur (1981) et Directeur Général (1998) de la Conférence Internationale des Doyens et des Facultés de Médecine d'Expression Française (CIDMEF).
C'est  un habitant de Saint-Cyr-sur-Loire.
Il ponctue par des images ma mémoire, moi qui fut le meilleur ami d'un de ses fils Stéphane avec qui nous avons partagé notre scolarité et moments libres à Saint-Cyr.
André Gouazé a su partager son savoir, sa manière de voir, son exigence qu'il s'est d'abord appliqué à lui même. Pas facile, mais sa pugnacité, sa persévérance ont dynamisé notre médecine française.
Il est le "maître" de nombreux professeurs plus jeunes, on vient de donner son nom au nouveau bâtiment de la faculté de médecine. Je veux proposer à mes collègues que Saint-Cyr-sur-Loire, lui donne le nom d'une rue. Je souhaiterai le faire de son vivant. C'est plus gai, ce serait une fête de la dignité, de la culture, de la recherche. Il a choisi l'Hôpital pour travailler et pas le privé. Les responsables du service public se doivent de l'en remercier.
La Touraine, à coté d'Emile Aron de Bretonneau de Trousseau et de bien d'autres doit ne pas se réfugier derrière son passé mais l'utiliser comme fondation.
La révolution serait en marche ! Je deviendrai alors révolutionnaire!

TROMPE,TROMPEUR LE FAUX SCANDALE DU LIVRE DE MADAME TRIERWELER

Le livre de Madame Trierweler fait pleurer, indigne.
Belle opération de communication sur un règlement de comptes. Une belle rentabilité !Pour des socialistes !

Le scandale n'est pas là où on le croit.
Le Président de la République voulait être un homme normal. Une blague.
Aujourd'hui, il réclame sur ces frasques d'une vie privé dont il est le seul comptable, un traitement anormal parce qu'il est Président. Le scandale est là.
Trompé, trompeur. Non, un Président de la République ne peut pas être un homme normal parce qu'il représente la France.
La majorité lui a fait confiance. Elle a eu tord, mais la démocratie l'a désigné. Je le respecte ainsi. Toute cette affaire n'est pas un scandale c'est une histoire qui fera bientôt sûrement un film. Pas un scandale car quand on devient une star on vit le problème des stars.
On ne peut pas vouloir et le regretter. Tel est bien son problème en permanence: l'indécision.

Je ne trouve pas dramatique que les gens s'intéressent même avec un coté voyeuriste, à la vie de gens célèbres.
La pensée unique se repend dans une démagogie digne de tous les bobos.
On se marre d'autant de fausse pudeur.
La démocratie génère aussi la morale dans une société. On se brûle quand on joue avec le feu.
A force de réclamer la liberté dans tout, voilà le résultat, on se brûle les doigts!

dimanche 31 août 2014

LA CULTURE EST UN INVESTISSEMENT

 

La culture est un investissement.

Les bâtisseurs vont bondir.

 
Dans cette affirmation, la notion de gaspillage, d'inutilité se précipite aux portes des confiants dans la pierre, des rassurés du béton.
 
Humour bien sûr mais réalité trop souvent constatée
.
Tout n'est raison que dans la mesure. La ville ne connaît sa raison d'être que si elle entretient un lien forts entre ces constituants humains.
La notion de service public trouve sa consistance dans l'implicite du mandat confié par les électeurs.
Nous connaissons des villes sans âme. on a construit, construit, entassé, volé des espaces de verdure sans que le liant de soit ajouté. une caisse de beaux légumes ne fait pas une bonne soupe. L'animation, nouveau mot pour apaiser et ne pas donner le vertige en prononçant le concept de démarche culturelle collective, si souvent oubliée dans les projets. Elle n'est pas le principal mais l'accessoire.
L'action culturelle ne doit pas être le moyen de sauver "l'égo" de celui qui décide. Elle ne peut se résumer à une investigation culturelle chaotique qui dérive trop souvent vers le "n'importe quoi".
Jamais on ne s'inquiète de ce qu'attend le public potentiel au prétexte qu'il faut "guider les masses laborieuses" !
Héritage des âneries issues du communisme, la religion devient la culture de masse, elle devient "l'opium du peuple".
La culture c'est simplement apprendre et se distraire. Savoir répondre, tenter de précéder les attentes sont une règle obligatoire, parce que le décideur est au service et non l'inverse.
 
La culture comme toute chose a un cout. Bien souvent modeste au regard des sommes englouties pour des détails bétonnés, elle est comme un cadeau fait.
Non, elle est un placement. Quand la morosité prend la meilleure place, elle est source de régénération. Comment combattre le pessimisme sans doper l'accessoire qui fait le principal.
La cohérence sociale se fait quand la vie reprend son rôle.
La culture est un ciment.
Elle est un ciment pour les décideurs et pas pour les petits gestionnaires, comptables simplistes. Elle est un bouffée de rassurance. Elle est le lien du conflit des idées, donc du mouvement, en un mot, la pile de la vie.

UN TANGO POUR LES CONSEILS GENERAUX

La discussion, en un mot la guerre dans le pouvoir exécutif, deviennent les maître-mots du fonctionnement du pouvoir. Un coup de gueule, l'institutionalisation de la guérilla, va justifier un nouveau gouvernement, on rêve.

Au hasard des prises de position dans tous les sens, on a appris que le sort des conseils généraux avait été réglé sur la base de turpitudes électorales. Monsieur Baylet a déclaré qu'il soutenait le gouvernement si on maintenait les conseils généraux en milieu rural.
Réponse: des ministres radicaux de gauche retrouvent leurs postes, donc on a encore changé de cap. Quel mépris pour les élus de proximité qui se battent au jour le jour pour combler, tenter de la faire les erreurs du gouvernement.

Comme ministre de l'intérieur, Monsieur Valls  change le mode électoral des conseils généraux au prétexte de plus de proximité.
Comme Premier Ministre, il déclare le contraire en actant des régions nouvelles dont la notre oubliée et de plus en plus seule.
Maintenant, on revient sur cette position pour des raisons de cuisine majoritaire.
Rebelote, la date des élections revient dans le flou artistique.

Les conseils généraux ruraux c'est quoi ? en dehors des métropole où on va justifier de la proportionnelle qui permettra aux extrêmes d'avoir une représentativité, où les partis vont régler le jeu, au mépris des engagements locaux bien loin des palais parisiens ?
On se fout du monde.
C'est un tango pitoyable. Personne ne le dit. Les électeurs n'y comprennent plus rien. As t'on sonné la fin de nos institutions qui permettent à l'incompétence de se maintenir pourtant ?
Paris n'est pas la France.

lundi 25 août 2014

LE SYNDROME DE LA COUR D'ECOLE


"SI TU N'ES PAS SAGE, JE TE METS DEHORS !"
Dans la logique de la pensée affichée comme socialiste, il est de mise de défendre, quelque soit son engagement, sa position, ses idées en tout point à tout moment. Cette revendication est aux lèvres comme le rouge.
Beaucoup, dans cette galaxie, sont issus du monde de l'enseignement. Friands des cours d'école, l'enfant pas sage, insolent, turbulent doit pouvoir s'exprimer pour son équilibre.
Arrivés au gouvernement, dans l'accélération vers le mur, la cour d'école se transforme en récréation permanente. On s'agite, glose, s'exprime, commémore jusqu'à plus soif. On déploie des talents indiscutables du verbe permanent. En parallèle, la France s'effondre. On parle de la République et pas du chômage, du pessimisme.
La cour d'école découvre que les jeux d'enfants ne sont pas faits pour des adultes. La réalité, le concret, le pragmatisme sont des valeurs mais sûrement pas philosophiques.
Arrêtons les "numéros" de mauvaise qualité, qui n'aime plus qui, qui déteste les patrons en les flattant en permanence, les logiques économiques d'il y a 50 ans, commencent à nous soûler !
En grâce, vous qui nous gouvernez, sortez de la cour d'école.
Vous avez vieillis !
Peut-être ?

mercredi 20 août 2014

POUR VOUS ABONNER A MON BLOG


LE PASSE , C'EST FACILE


Histoire, je t'aime trop !

Si on est attentif à la vie au quotidien, on s'aperçoit bien vite d'une frénésie sociale pour retrouver le passé. Notre structure intellectuelle, nous amène souvent à l'histoire bien construite. Un début, une fin, et la rassurance naît.
La frénésie des commémorations, l'argent dépensé pour se souvenir, trouve sa source dans l'incertitude qui se généralise et la mélancolie confortée par la nostalgie qui stabilise notre vie simple, trop simple. L’appétence pour le passé s'installe. L'Histoire devient la rubrique obligatoire dans laquelle on se jette et toute liberté.
La littérature, le roman se jette à corps perdu dans des situations orchestrées dans le passé. C'est plus simple de planter le décor que l'on connaît même de manière fragmentaire. La guerre confirme notre violence en la légalisant. Le fait divers satisfait toutes nos perversions.
L'analyse de l'Histoire demeure une force, mais le retour  de cette envie doit nous interroger. Ne serait-ce pas la démonstration de notre frustration à savoir comment nous allons faire demain, comment nous allons agir, comme nous allons troubler "le juste chemin des choses" ? Dans l'atmosphère des mots qui n'ont plus de sens, dans le verbiage politique qui affirme et fait le contraire, dans le message religieux qui se noie dans œcuménisme béat d'un bonheur promis qui n'existe pas, on se plonge dans le déjà construit, usé, satisfaisant, des périodes révolues. On se complait à vouloir que c'était mieux avant et pas que demain sera meilleur parce que nous nous serons enrichis des absurdités du passé.
Est-ce la marque d'une décadence ? d'une chute vers un impossible demain ? vers un futur indéfinissable ?
Le passé se conjugue avec l'analyse macro-affective du présent. Les chiffres s’assoient comme preuves irréfragables. Les mensonges répétés deviennent des vérités. La confusion naît de ce doux refrain savamment répété dans la chanson de l'actualité.
Le passé, c'est plus simple que le devenir immédiat. Comment sera l'année prochaine, les cinq années à venir, les chantiers à imaginer, les révolutions à réussir.
Une photo de ce que nous vivons. Des questions à se poser. C'est une richesse aussi.

samedi 16 août 2014

MENIE GREGOIRE, MERCI

Nous venons d'apprendre le décès de Ménie Grégoire que j'avais eu téléphone, il y a une semaine et nous avions convenu de nous voir. Le destin lui a donné un autre rendez-vous.
J'ai connu Ménie Grégoire, il y a 8 ans. Elle avait été parmi les premiers écrivains à me faire confiance pour le Chapiteau du Livre à Saint-Cyr sur-Loire. Pas simple quand on commence.
Elle avait choisi de m'aider. Encore mille mercis.
Nous nous voyons souvent ensuite dans sa maison de Rochecorbon. Elle me racontait sa vie. Nous avions décidé de faire un livre sur sa vie, sa manière de la voir, d'écouter les autres. Les premiers interviews étaient en boite comme on dit en radio.
C'était une femme d'élégance et de délicatesse. sa voix fabuleuse, elle l'a conservée jusqu'au bout. La fatigue la prenait et nous convenions de nous revoir.
Passionnante cette vie de radio, de rencontres, de relations ignobles et savoureuses. Ce monde est sans pitié. Elle se désolait de ne plus voir grand monde " Elle me disait je ne suis plus rien, c'est triste d'avoir été " Elle demeurait pourtant prévenante et attentive.
Elle n'a pas laissé insensible. Ces prises de position, ces analyses, l'immense interactivité affective qu'elle a laissée en fond une femme fermement proche des autres. Sa vie d'un relationnel mondain n'avait pas entaché la proximité que l'on ressentait chez elle.
L'émission est finie.
Mais on n'oubliera pas "Allo Ménie, je voudrai vous dire....."
Un immense coup de chapeau à vous Ménie.

samedi 9 août 2014

NOUVELLE REPUBLIQUE DU CENTRE OUEST - JUIN 2014

 
 



Indre-et-Loire - Grand témoin

Jean-Yves Couteau chercheur en bonheur


15/06/2014
 
Fondateur-organisateur du Chapiteau des livres, à Saint-Cyr, l’homme est un passionné. Des belles-lettres. Et, donc, forcément, de la vie.
 
> Agé de 56 ans, Jean-Yves Couteau est né dans le Loir-et-Cher. > Diplômé d'une licence de droit privé de l'université François-Rabelais de Tours. Il y travaille aujourd'hui
> Au cours de sa carrière professionnelle, il occupe plusieurs postes de conseiller, de directeur général des services et de directeur de cabinet, tour à tour au conseil général de l'Indre, au conseil régional Centre et au conseil général de Loir-et-Cher.
> Engagé tôt dans la vie politique, proche de Giscard d'Estaing, il est aujourd'hui premier adjoint de la ville de Saint-Cyr , conseiller général et conseiller de Tours Plus
> Passionné de littérature, il est le fondateur du Chapiteau des livres
 
 
« Mon livre préféré, le seul que j'emmènerai avec moi si je n'avais pas le choix ? " Candide ", de Voltaire, pour la dernière phrase prononcée par Martin : " Il faut cultiver notre jardin secret ". C'est tellement vrai, non ? »
 
« Et la jeunesse, vous connaissez ? » Le thème de cette 6e édition du livre est sous le ton de l'interrogation, à l'inverse de l'invitation que vous lanciez l'an dernier avec « Raconte-moi le monde ». Faut-il y voir une signification particulière ?
« En organisant cette édition et en se référant à celle de l'an dernier, nous nous sommes surtout aperçus qu'on parlait trop souvent de la jeunesse en difficulté et presque jamais d'une jeunesse qui avance, propose, créée, s'engage.
« La littérature est un très joli terrain d'expression pour évoquer tout cela. Mais pas seulement. Récemment, des jeunes de Saint-Cyr – Antoine Lefaucheur, Ninon Péchinot et François Siproudhis – ont créé une association qui s'intitule Jeunesse et Recherche. Aucun d'eux ne fait d'études dans le médical.
« Ils ont choisi de s'engager auprès de la Fondation Rabelais qui lance une souscription pour acquérir un débitmètre. Un appareil qui permettra au centre de transplantation hépatique du CHU de Tours d'être encore plus efficace et d'être, surtout, en mesure de sauver encore plus de malades du foie. L'engagement de ces jeunes auprès du chef de service, le Pr Salamé, est exemplaire. C'est ainsi, aussi, que l'on écrit la vie. »
Vous évoquez ce sujet avec beaucoup d'émotion dans la voix…
« Le service du Pr Salomé m'a offert la plus belle chose qui soit : continuer à vivre. C'est une équipe extraordinaire, engagée, solidaire et excellente. En trois ans, ce médecin et son équipe ont hissé ce service au second rang national des centres de transplantations.
« La Fondation Rabelais, à laquelle j'appartiens, soutient l'équipe de ce professeur. Ils sauvent des vies chaque année. J'en parle avec toujours beaucoup d'émotion, c'est vrai. »
La maladie, la vie, l'engagement, l'amour de la littérature qui n'est souvent que le reflet romancé de toutes ces réalités, vous portez tout cela. Et la politique ?
« Ce qui m'intéresse avant tout, ce sont les hommes, les bonhommes, comme je le dis souvent. Et ce qui me porte dans cette vie-là, c'est l'humanisme. La politique, c'est un engagement au service des autres, de tous les autres. Je ne l'imagine pas à l'opposé de l'esprit qui anime le Chapiteau des livres : rassembler ce qui est épars, les écrivains à compte d'auteur, comme les auteurs de maison d'édition.
« La politique, à mes yeux, c'est pareil. Même si le fait politique me révolte toujours : le tripatouillage des nouvelles Régions est une honte, un mépris. On n'a écouté personne, ni les élus, ni le peuple. Le résultat aux dernières élections n'a malheureusement rien de surprenant. Si on continue ainsi, à droite comme à gauche, on finira par amener le FN au pouvoir. »
Pour finir, place au littéraire. La citation qui, pour vous, résume tout.
« " J'ai reconnu le bonheur au bruit qu'il a fait en partant "… C'est de Prévert et c'est magnifique.
 
article de Jean-Yves LENEZET
 
 
 
 


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jeudi 17 juillet 2014

PERSONNE NE VEUT DE NOUS !

Voilà le résultat d'une gestion lamentable et d'une communication au dessous de tout. La lucidité des parlementaires fut grande. La région Centre serait une et seule. D'une immensité sans logique nous voilà dans le même schéma, une logique du rien.
Depuis des années, nombreux sont ceux qui expliquent qu'il faut une dynamique et pas le consensus mou d'une gauche appauvrie en idées à la limite de l'anémie!
C'est une assemblée a changé en effet mais à changer du tout au tout. Invisible du grand public, elle est confidentielle et distribue l'impôt sans stratégie. Des trains pour faire plaisir, un arrosage de subventions diverses, des universités qui ne se supportent pas, on n'aide pas les faibles, on repartit la pauvreté!
Les élus sont amorphes, inconnus. Par contre au royaume de la parole point d'égal.Il est urgent de sortir de là. Personne ne bouge. On a l'impression que tout le monde est anémié par le discours vaporeux du Président de la République. La majorité ne pouvait pas imaginer cela, c'est vrai.
Tout est basé sur l'opinion qui parle via les télévisions mais qui ne connaît pas son sujet. L'instruction civique est "périmé" nous disent les spécialistes de l'enseignement. Au lieu de colorer les résultats des apprentissages, il serait urgent d'apprendre à nos plus jeunes comment tout cela fonctionne. N'oubliez pas ils seront demain les lauréats des micro-trottoirs !
Y'a quelqu'un, on est tout seul !

dimanche 8 juin 2014

PAS SIMPLE D'ËTRE JEUNE




Majeurs ou mineurs, ils sont la jeunesse au top des facultés intellectuelles et physiques. Mais n’oublions pas que l’égalité n’existe pas. Selon chaque catégorie sociale, la jeunesse est différente. Cette jeunesse est le maillon qui nous lie dans le temps, qui nous relie avec le passé et qui prépare l’avenir. L’âge de 30 ans  fait office de seuil de maturité

Il n'existe pas de définition officielle de l'âge de la jeunesse. La plupart des travaux considèrent comme "jeunes" les 15-24 ans : c'est la définition des Nations Unies, et aussi l'intervalle le plus utilisé par l'Insee. On emploie aussi l’expression de « jeunes adultes » qui désigne en général les plus de 18 ans qui vivent seuls. Cette catégorie est étendue, dans certaines études, à 29 ans.
D'une manière plus large, on considère dans certains cas l'ensemble des moins de 25 ans : les jeunes regroupent les enfants (approximativement les 0-11 ans), les adolescents (11-17 ans) et les jeunes adultes (18-24 ans).
Connaissons-nous la jeunesse ? Elle se cale derrière le rejet, l’imaginaire, le cocon recréé avec les amis. Est-elle si bien dans ses baskets sans lacets, ou dans ses tenues différentes  toujours dupliquées ?
Après la génération sacrifiée après la Première Guerre mondiale, la crise risque de créer une génération perdue. La crise latente de l’intégration dans le monde adulte s’orchestre autour de l’école et de l’emploi.
Alors doit-on couver les jeunes où les abandonner à leurs espoirs simples ?
La jeunesse est ouverte sur le monde grâce aux technologies dérivées d’internet, mieux formée et mieux éduquée qu’aucune génération avant elle, elle a de la difficulté à s’insérer dans un univers économique mouvant, instable, hostile.
Cela renvoie à un trait très fort de la culture adolescente actuelle : la valorisation d’être ensemble et du partage collectif des émotions. Il y a ici un paradoxe. On assiste à un repli identitaire de la jeunesse, avec une culture un peu à part du reste de la société et la volonté de rester entre pairs.
Sans le cadre d'une formation valorisante, notre jeunesse est malmenée et trop souvent sans espoir. Quand la société ne permet plus à sa jeunesse d’y occuper la place qui lui revient, cette société se trouve en danger, car sa construction et sa régénération ne sont plus assurées.

On peut difficilement imaginer que la redéfinition de la famille ne soit pas sans conséquence sur la jeunesse de demain. Les parents oublient bien vite, pour leur confort, l’enfant qui risque de devenir objet de partage. C’est mieux sûrement que la famille invivable. Cette famille est une somme d’individualités qui doivent savoir se conjuguer. La jeunesse aujourd’hui découvre le nouveau panorama conçu par et pour les plus vieux !
La dépendance financière et sociale des jeunes vis-à-vis des parents ou de la collectivité reste grande. Au lieu de valoriser et responsabiliser la jeunesse, cette dernière reste apparentée, dans l’imaginaire collectif, à une source d’insécurité, à la drogue et la marginalité. Et pourtant, elle créé, bouscule, entreprend, mais demeure soumise à la chance de pouvoir le faire et pas que de l’imaginer.
L’O.I.T (Organisation Internationale du Travail) dénonce la multiplication du nombre des travailleurs pauvres dans les pays en développement. Dans son étude, l'OIT stigmatise "l'infortune de la génération qui arrive sur le marché du travail en cette période de grande récession". Outre le chômage et la précarité, les jeunes peuvent aussi être contraints à accepter des rémunérations moins élevées.

Tout se conjugue pour compliquer le passage vers le monde à venir, pour le jeune, dans celui des adultes. Ils ne sont pas bien sûr eux aussi pour savoir où ils vont !

DU MÉTIER DE BOUTIQUIER !



Précipitations, drame de l’impôt, débauche de bavardages et tout pour arriver à un puzzle mal "boutiqué" !
On et bien dans le domaine du boutiquier : comment faire pour garder la majorité, pour cela tout est bon ! Après le découpage des cantons, remise en place de la clause générale de compétences, après la création des conseillers départementaux, on annonce que tout à changer en quelques mois ! Ce qui était bon à quelques semaines prés, ne l’est plus.2020 devient un rendez-vous funeste pour les départements à la gloire de régions nouvelles découpées d’abord et justifiées, on l’espère, ensuite.
Ce n’est plus de l’amateurisme, c’est du n’importe quoi !
Mais on sent bien la puissance médiatique soucieuse de se racheter, qui ergote en analyse. À force d’affirmer des mensonges avec force, on en fait des vérités. Mais où allons-nous ?
D’une bonne réforme, on saccage à coup de communication. On méprise les élus locaux même pas dignes d’une consultation. On parle d’un débat parlementaire. Les députés sont-ils au courant, auront-ils lu au moins le sujet. L’hémicycle deviendra un cirque. On parie ?
De Bygmalion à Cahuzac en passant par le Front National, le débat s’arrêtera là. Et le fond ?
Veut-on un fédéralisme régional ? Quel est le rôle de l’État ? Doit-on conserver autant de préfets, sous-préfets ? Que deviennent les inutiles syndicats multiples (77 en Indre-et-Loire) ? Les communautés de communes, ont-elles les moyens ou non (sauf à construire des bureaux multiples) ne doit-on pas imposer les transferts de fonctionnaires et pas la « surjuxtaposition » des personnels ? Pourquoi s’attaquer à ceux qui décident alors que ceux qui exécutent coûtent le plus cher ? La tarte à la crème de la mutualisation des exécutions  va-t-elle continuer  en permettant de donner à certains des compétences énormes, et en autorisant des adjoints multiples !
La région nouvelle va tout faire dont acte. Mais qu’elle est la justification, la cohérence de la nouvelle Centre-Limousin-Poitou-Charentes, sauf à offrir à Madame Royale un avenir éventuel ? 500  km de long !
Certains considèrent que cela va dans le bon sens ! oui en marche arrière.
Quand on sait combien il est difficile de désenclaver le monde rural par rapport à l’urbain sur le territoire départemental, on imagine le possible entre l’Eure-et-Loir et le Limousin !
Pourquoi tant de précipitions, on parle d’économies, lesquelles, une blague !
En grâce, trouvons le chemin d’une vraie décentralisation qui redéfinit l’impôt, basé sur des cohérences nationales et européennes, qui prévoit le soutien social et l’action en faveur des personnes âgées, qu’il faut arrêter de « parquer » en campagne alors qu’elles souhaitent vivre dans le mouvement. Voilà bien un sujet esquivé, pour savoir si les huîtres ou les Charentaises vont se conjuguer avec le grenier à blé de la France !

Il y a encore du travail sérieux à mener, mais dans la proximité et pas dans les ors de la République !

mardi 27 mai 2014

LAISSER TRAÎNER, C'EST GASPILLER ENCORE !

"Il est temps de donner une issue à deux dossiers prioritaires pour le canton de Saint cyr:

1) périphérique nord-ouest

Le temps c'est de l' argent ! On gaspille. Promesses multiples et tous les jours on paralyse,   accroît la pollution avec des files de voitures coincées dans un goulot d' étranglement dans les rond -points de St cyr et la membrolle. Chacun  s' installe, OK. On attend que le premier bouge pour ouvrir la boîte à solutions ? C'est quand la fin du petit jeu ?.

2) collège bergson:

Je me réjouis d'apprendre que ce dossier va être réouvert afin de débloquer de nombreuses hypothèses sur le canton de St cyr. Déplacement vers Bechellerie dans un souci de bonne gestion, enfin l issue d' un dossier que je soutiens depuis 5 ans. (Près de 300 collégiens dans chaque collège alors qu ils ont une capacité de 600). Mais attention, il ne s'agit pas d' "entasser "dans le collège Bêchellerie mais de redéfinir sa capacité (locaux vides de Konan inutilisés par ex.)et son orientation vers une accentuation des moyens techniques pour l'apprentissage des langues (toutes y compris la notre!) et  des nouvelles technologies. Vite sortons des mots pour croiser, en concertation, la forme et le fond."

Jean Yves couteau

Conseiller général


mardi 6 mai 2014

LE CHARCUTAGE RECOMMENCE !


Dans notre pays, le seul moyen de savoir où  l’on en est, de connaitre les projets d'intérêts collectifs, c'est la télé sur tous les sujets.... 
On recommence dans le charcutage électoral….et puis on reporte d’un an les élections locales.
Ce mépris permanent des élus locaux doit avoir une fin.
Pourquoi 2016 et pas 2017…..cantonales, régionales, législatives, présidentielles, d’un coup dans 4 urnes……….. !!!!
De qui se moque t’on Monsieur le Président ?
Nous, élus locaux, le mépris parisien pour la réalité de nos projets n’est plus supportable.
Et pourtant, une bonne idée la refonte des lignes des collectivités territoriales, des structures qui en dépendent...massacrée à coup de communication, s’il vous plait écoutez les « gens » puisque vous allez les voir !

Les politiques deviennent avec de telles opérations des personnages qui tripotent, s’arrangent et ne font rien sauf du bavardage.
Faites dont un « rapport Gallois » sur le sujet d'une nouvelle décentralisation et ensuite, après discussion au mieux avec ceux qui connaissent les sujets, on verra ! 
Ne rêvons pas !

samedi 3 mai 2014

GRÄCE A VOUS PROFESSEUR EPHREM SALAME....

Regardez cet homme. je lui dois tout et surtout aujourd'hui.
Il mérite un immense coup de chapeau avec des mots trop étriqués mais dont ma définition devient personnelle. Je me devais de le faire à lui ses équipes, ses collègues.

J'ai voulu dire que j'avais été victime d'une grave maladie: le cancer.
Je veux témoigner un amical respect. Que ce message serve à d'autres.

Grâce à son talent, son savoir, son esprit d'investigation, sa manière d'expliquer, son acte chirurgical fait d'aujourd'hui un autre jour. L'hôpital de Tours connaît de grands hommes beaucoup trop discrets. Ne le soyons pas quand il faut dire MERCI. Cet homme est volontaire et d'un humanisme rare. Son élégance avec les patients correspond à sa manière de vivre: ne pas laisser tomber avec raffinement, s'appliquer à faire au mieux. Cet conscience que "L'autre est un "je", lui donne cette approche digne de siècles passés. Bravo. Sûrement, il bouscule  l'apathie permanente qui caractérise tous ceux qui sont financièrement arrivés et qui  considèrent cet état comme rédempteur ! Mais il veut donner plus après avoir été mis à l'essai !
Quand on apprend la nouvelle de la maladie, le monde bascule, un peu, beaucoup. Il ne faut trop le laisser paraître. La charge de l'esprit doit accompagner les traitements, simples ou non. Un obstacle de taille, de plus, à surmonter. La vie se compose de conflits permanents. C'est sa ressource. Alors il faut se précipiter dans son cycle et instinctivement ne pas laisser tomber. Il faut, il faut .......... c'est vrai que tout est bien dans un beau monde !
Beau, on peut faire mieux! ... Le fleuve des mesquineries en tout genre  accompagnent la maladie, dans des sourires factices ou le sempiternel "pourvu que cela ne m'arrive pas".
C'est humain oui... et le malade le voit dans les yeux . Qu'importe, les vrais amis, en dehors de la famille, se confirment et en plus se dévoilent plus encore. On est surpris et rassuré.
Le destin me donnera d'autres rendez-vous, peut être, meilleurs j'espère et  tous peuvent l'espérer quand ils sont sur le chemin de la guérison, qu'ils empierrent chaque jour. Une gigantesque chance qui fait "que Venise n'est plus en Italie". Si vous êtes dans la douleur, ces lettres assemblées veulent vous être utiles.

Je peux l'écrire grâce à vous Monsieur Salamé.
Il y a une dimension inconnue chez les membres de votre équipe: leur disponibilité.
Malade, on n'est plus soit même. Je sais de quoi on parle quand on est sous l'emprise de traitements forts. Ils vous mènent dans le carrefour. Celui qui tourne le volant pour aller où il veut, c'est le malade. A lui de tenter de faire fonctionner l'accélérateur que ce soit avec l'aide de sa religion, de ses valeurs, de son affectif qui fait qu'on a envi de se rattacher à tout ce qui passe, une attention, un sourire aimable, un peu de considération, en un mot un peu d'humanité, dans le blanc glacial qui vous entoure.
Grâce à vous, j'écris ces mots. Merci du fond de moi.
Merci aussi à ceux qui régulièrement m'ont fait savoir leurs inquiétudes. C'était un solide recours.
Et puis les mots deviennent insuffisants quand l'oxygène vous soûle et fait que même quand il pleut., il fait maintenant un peu plus toujours soleil.
Rien n'est pour l'heure fini.

MICHEL DRUCKER PRESIDENT DE LA 6° EDITION


Michel Drucker a accepté de venir au Chapiteau du Livre de St Cyr sur Loire.
Grace à Mireille Meunier-Saint-Cricq, il va traverser la France pour présider cette 6° édition. Bravo et merci à lui. Venant de Nice, du Salon du Livre, il sera présent Dimanche pour rencontrer 250 auteurs et de très nombreux visiteurs et partenaires.
Cette alchimie ne se fait réussite que si tous et toutes multiplient les efforts pour offrir un rendez-vous dans l'agglomération tourangelle avant l'été. Merci à Monique Lefaucheur de son action brillante comme Présidente des Amis du Chapiteau du Livre.
Je suis très heureux, comme fondateur, de voir perdurer et de mieux en mieux améliorer tous les ans cette aventure.

CHAPITEAU DU LIVRE 6° EDITION: 13.14.15 JUIN 2014

 

 
Des conversations littéraires



 
"Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur
On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur"
 
Molière demeure homme de raison. Nous cherchons tous moyens pour engager une conversation. La sophistication des outils électroniques ne remplacera jamais cet échange de propos entre une ou plusieurs personnes sur un ton familier. La manière est aussi forte que le fond. La conversation est une forme courante de communication qui permet à des personnes de faire connaissance. Elle génère ou est soumise à l’affectif. Elle devient saveur comme cette pâtisserie qui porte son nom  (« Tartelette ronde feuilletée, fourrée de crème pâtissière aux amandes, couverte de glace royale et garnie de croisillons de pâte »)
 
« Bien écouter et bien répondre est une des plus grandes perfections que l’on puisse avoir dans la conversation. »
(François de La Rochefoucauld, Réflexions ou sentences et maximes morales)
 
L’art de la conversation nécessite beaucoup de pratique, mais n’est pas aussi difficile qu’on pourrait le penser. Que ce soit lors d’un dîner, à l’école ou au téléphone, une conversation intéressante démarre lorsque deux personnes ou plus sont sur la même longueur d’ondes et se sentent à l’aise à parler ensemble. Ce n'est pas la conversation qui est indispensable, c'est la communication. Mais il ne suffit pas de s’exprimer dans la même langue pour être compris.
Parler c'est échanger, et c'est changer en échangeant. Pour qu'il y ait échange communicatif, il ne suffit pas que deux locuteurs (ou plus) parlent alternativement; encore faut-il qu'ils se parlent, c'est-à-dire qu'ils soient tous deux "engagés" dans l'échange.
 
Le miracle de la conversation est l’ambiance orchestrée ou non entre ceux qui s’entretiennent mais aussi ceux qui entendent, écoutent.
 
La conversation est l’arme contre la solitude. Elle est aussi la source de joie ou de frustration  quand bien vite on manque d’arguments par inculture ou timidité. La psychologie s’immisce dans ce principe social d’apaisement.
En conversant en tout intelligence, on élimine la violence.
La conversation génère l’inquiétude intellectuelle et pour les esprits sages, elle donne envie d’aller plus loin dans sa connaissance sur tel sujet appréhendé, de l’approfondir.
 
La conversation gagne sur l’aberration du repli sur son téléphone pour discuter avec des « textos » ou avec des interlocuteurs lointains alors bien souvent qu’à sa porte son voisin en fait autant.  « Le véritable ennemi de la conversation, c’est le repli identitaire » nous enseigne Emmanuel Godo. Alexandre Jardin dépasse « La cohésion d’une société est proportionnelle à la qualité et  la gaieté des conversations…
Il suffirait de peu pour retrouver de la souplesse, du plaisir d’être ensemble… » Guillaume Villemot complète objectivement: « Chacun multiplie les courriels, en les adressant en copie à une multitude de personnes afin de se couvrir. Les réponses fusent et les mots voient leur agressivité décuplée… » Le fait de ne pas voir son interlocuteur ni d’entendre les intonations de sa voix en sont la raison. Nous sommes encore dans le royaume de la vitesse qui devient vérité révélée. Avons-nous  si peur de la mort pour se contenter de si peu ?  Mais c’est un autre débat.
Allez sur votre pallier pour converser, c’est  plus simple et puis, qui sait, vous découvrirez peut-être un nouvel ami !
 
 
Jean-Yves Couteau
Fondateur-Organisateur Chapiteau du Livre
Premier Adjoint, Conseiller Général,
Conseiller communautaire Tours Plus
 
 
 

"Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur
On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur"

 
Molière demeure homme de raison. Nous cherchons tous moyens pour engager une conversation. La sophistication des outils électroniques ne remplacera jamais cet échange de propos entre une ou plusieurs personnes sur un ton familier. La manière est aussi forte que le fond. La conversation est une forme courante de communication qui permet à des personnes de faire connaissance. Elle génère ou est soumise à l’affectif. Elle devient saveur comme cette pâtisserie qui porte son nom  (« Tartelette ronde feuilletée, fourrée de crème pâtissière aux amandes, couverte de glace royale et garnie de croisillons de pâte »)

« Bien écouter et bien répondre est une des plus grandes perfections que l’on puisse avoir dans la conversation. »(François de La Rochefoucauld, Réflexions ou sentences et maximes morales)

 L’art de la conversation nécessite beaucoup de pratique, mais n’est pas aussi difficile qu’on pourrait le penser. Que ce soit lors d’un dîner, à l’école ou au téléphone, une conversation intéressante démarre lorsque deux personnes ou plus sont sur la même longueur d’ondes et se sentent à l’aise à parler ensemble. Ce n'est pas la conversation qui est indispensable, c'est la communication. Mais il ne suffit pas de s’exprimer dans la même langue pour être compris.

Parler c'est échanger, et c'est changer en échangeant. Pour qu'il y ait échange communicatif, il ne suffit pas que deux locuteurs (ou plus) parlent alternativement; encore faut-il qu'ils se parlent, c'est-à-dire qu'ils soient tous deux "engagés" dans l'échange.

Le miracle de la conversation est l’ambiance orchestrée ou non entre ceux qui s’entretiennent mais aussi ceux qui entendent, écoutent.

 La conversation est l’arme contre la solitude. Elle est aussi la source de joie ou de frustration  quand bien vite on manque d’arguments par inculture ou timidité. La psychologie s’immisce dans ce principe social d’apaisement.

En conversant en tout intelligence, on élimine la violence.

La conversation génère l’inquiétude intellectuelle et pour les esprits sages, elle donne envie d’aller plus loin dans sa connaissance sur tel sujet appréhendé, de l’approfondir.
 

La conversation gagne sur l’aberration du repli sur son téléphone pour discuter avec des « textos » ou avec des interlocuteurs lointains alors bien souvent qu’à sa porte son voisin en fait autant.  « Le véritable ennemi de la conversation, c’est le repli identitaire » nous enseigne Emmanuel Godo. Alexandre Jardin dépasse « La cohésion d’une société est proportionnelle à la qualité et  la gaieté des conversations…

Il suffirait de peu pour retrouver de la souplesse, du plaisir d’être ensemble… » Guillaume Villemot complète objectivement: « Chacun multiplie les courriels, en les adressant en copie à une multitude de personnes afin de se couvrir. Les réponses fusent et les mots voient leur agressivité décuplée… » Le fait de ne pas voir son interlocuteur ni d’entendre les intonations de sa voix en sont la raison. Nous sommes encore dans le royaume de la vitesse qui devient vérité révélée. Avons-nous  si peur de la mort pour se contenter de si peu ?  Mais c’est un autre débat.

Allez sur votre pallier pour converser, c’est  plus simple et puis, qui sait, vous découvrirez peut-être un nouvel ami !