mardi 27 mai 2014

LAISSER TRAÎNER, C'EST GASPILLER ENCORE !

"Il est temps de donner une issue à deux dossiers prioritaires pour le canton de Saint cyr:

1) périphérique nord-ouest

Le temps c'est de l' argent ! On gaspille. Promesses multiples et tous les jours on paralyse,   accroît la pollution avec des files de voitures coincées dans un goulot d' étranglement dans les rond -points de St cyr et la membrolle. Chacun  s' installe, OK. On attend que le premier bouge pour ouvrir la boîte à solutions ? C'est quand la fin du petit jeu ?.

2) collège bergson:

Je me réjouis d'apprendre que ce dossier va être réouvert afin de débloquer de nombreuses hypothèses sur le canton de St cyr. Déplacement vers Bechellerie dans un souci de bonne gestion, enfin l issue d' un dossier que je soutiens depuis 5 ans. (Près de 300 collégiens dans chaque collège alors qu ils ont une capacité de 600). Mais attention, il ne s'agit pas d' "entasser "dans le collège Bêchellerie mais de redéfinir sa capacité (locaux vides de Konan inutilisés par ex.)et son orientation vers une accentuation des moyens techniques pour l'apprentissage des langues (toutes y compris la notre!) et  des nouvelles technologies. Vite sortons des mots pour croiser, en concertation, la forme et le fond."

Jean Yves couteau

Conseiller général


mardi 6 mai 2014

LE CHARCUTAGE RECOMMENCE !


Dans notre pays, le seul moyen de savoir où  l’on en est, de connaitre les projets d'intérêts collectifs, c'est la télé sur tous les sujets.... 
On recommence dans le charcutage électoral….et puis on reporte d’un an les élections locales.
Ce mépris permanent des élus locaux doit avoir une fin.
Pourquoi 2016 et pas 2017…..cantonales, régionales, législatives, présidentielles, d’un coup dans 4 urnes……….. !!!!
De qui se moque t’on Monsieur le Président ?
Nous, élus locaux, le mépris parisien pour la réalité de nos projets n’est plus supportable.
Et pourtant, une bonne idée la refonte des lignes des collectivités territoriales, des structures qui en dépendent...massacrée à coup de communication, s’il vous plait écoutez les « gens » puisque vous allez les voir !

Les politiques deviennent avec de telles opérations des personnages qui tripotent, s’arrangent et ne font rien sauf du bavardage.
Faites dont un « rapport Gallois » sur le sujet d'une nouvelle décentralisation et ensuite, après discussion au mieux avec ceux qui connaissent les sujets, on verra ! 
Ne rêvons pas !

samedi 3 mai 2014

GRÄCE A VOUS PROFESSEUR EPHREM SALAME....

Regardez cet homme. je lui dois tout et surtout aujourd'hui.
Il mérite un immense coup de chapeau avec des mots trop étriqués mais dont ma définition devient personnelle. Je me devais de le faire à lui ses équipes, ses collègues.

J'ai voulu dire que j'avais été victime d'une grave maladie: le cancer.
Je veux témoigner un amical respect. Que ce message serve à d'autres.

Grâce à son talent, son savoir, son esprit d'investigation, sa manière d'expliquer, son acte chirurgical fait d'aujourd'hui un autre jour. L'hôpital de Tours connaît de grands hommes beaucoup trop discrets. Ne le soyons pas quand il faut dire MERCI. Cet homme est volontaire et d'un humanisme rare. Son élégance avec les patients correspond à sa manière de vivre: ne pas laisser tomber avec raffinement, s'appliquer à faire au mieux. Cet conscience que "L'autre est un "je", lui donne cette approche digne de siècles passés. Bravo. Sûrement, il bouscule  l'apathie permanente qui caractérise tous ceux qui sont financièrement arrivés et qui  considèrent cet état comme rédempteur ! Mais il veut donner plus après avoir été mis à l'essai !
Quand on apprend la nouvelle de la maladie, le monde bascule, un peu, beaucoup. Il ne faut trop le laisser paraître. La charge de l'esprit doit accompagner les traitements, simples ou non. Un obstacle de taille, de plus, à surmonter. La vie se compose de conflits permanents. C'est sa ressource. Alors il faut se précipiter dans son cycle et instinctivement ne pas laisser tomber. Il faut, il faut .......... c'est vrai que tout est bien dans un beau monde !
Beau, on peut faire mieux! ... Le fleuve des mesquineries en tout genre  accompagnent la maladie, dans des sourires factices ou le sempiternel "pourvu que cela ne m'arrive pas".
C'est humain oui... et le malade le voit dans les yeux . Qu'importe, les vrais amis, en dehors de la famille, se confirment et en plus se dévoilent plus encore. On est surpris et rassuré.
Le destin me donnera d'autres rendez-vous, peut être, meilleurs j'espère et  tous peuvent l'espérer quand ils sont sur le chemin de la guérison, qu'ils empierrent chaque jour. Une gigantesque chance qui fait "que Venise n'est plus en Italie". Si vous êtes dans la douleur, ces lettres assemblées veulent vous être utiles.

Je peux l'écrire grâce à vous Monsieur Salamé.
Il y a une dimension inconnue chez les membres de votre équipe: leur disponibilité.
Malade, on n'est plus soit même. Je sais de quoi on parle quand on est sous l'emprise de traitements forts. Ils vous mènent dans le carrefour. Celui qui tourne le volant pour aller où il veut, c'est le malade. A lui de tenter de faire fonctionner l'accélérateur que ce soit avec l'aide de sa religion, de ses valeurs, de son affectif qui fait qu'on a envi de se rattacher à tout ce qui passe, une attention, un sourire aimable, un peu de considération, en un mot un peu d'humanité, dans le blanc glacial qui vous entoure.
Grâce à vous, j'écris ces mots. Merci du fond de moi.
Merci aussi à ceux qui régulièrement m'ont fait savoir leurs inquiétudes. C'était un solide recours.
Et puis les mots deviennent insuffisants quand l'oxygène vous soûle et fait que même quand il pleut., il fait maintenant un peu plus toujours soleil.
Rien n'est pour l'heure fini.

MICHEL DRUCKER PRESIDENT DE LA 6° EDITION


Michel Drucker a accepté de venir au Chapiteau du Livre de St Cyr sur Loire.
Grace à Mireille Meunier-Saint-Cricq, il va traverser la France pour présider cette 6° édition. Bravo et merci à lui. Venant de Nice, du Salon du Livre, il sera présent Dimanche pour rencontrer 250 auteurs et de très nombreux visiteurs et partenaires.
Cette alchimie ne se fait réussite que si tous et toutes multiplient les efforts pour offrir un rendez-vous dans l'agglomération tourangelle avant l'été. Merci à Monique Lefaucheur de son action brillante comme Présidente des Amis du Chapiteau du Livre.
Je suis très heureux, comme fondateur, de voir perdurer et de mieux en mieux améliorer tous les ans cette aventure.

CHAPITEAU DU LIVRE 6° EDITION: 13.14.15 JUIN 2014

 

 
Des conversations littéraires



 
"Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur
On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur"
 
Molière demeure homme de raison. Nous cherchons tous moyens pour engager une conversation. La sophistication des outils électroniques ne remplacera jamais cet échange de propos entre une ou plusieurs personnes sur un ton familier. La manière est aussi forte que le fond. La conversation est une forme courante de communication qui permet à des personnes de faire connaissance. Elle génère ou est soumise à l’affectif. Elle devient saveur comme cette pâtisserie qui porte son nom  (« Tartelette ronde feuilletée, fourrée de crème pâtissière aux amandes, couverte de glace royale et garnie de croisillons de pâte »)
 
« Bien écouter et bien répondre est une des plus grandes perfections que l’on puisse avoir dans la conversation. »
(François de La Rochefoucauld, Réflexions ou sentences et maximes morales)
 
L’art de la conversation nécessite beaucoup de pratique, mais n’est pas aussi difficile qu’on pourrait le penser. Que ce soit lors d’un dîner, à l’école ou au téléphone, une conversation intéressante démarre lorsque deux personnes ou plus sont sur la même longueur d’ondes et se sentent à l’aise à parler ensemble. Ce n'est pas la conversation qui est indispensable, c'est la communication. Mais il ne suffit pas de s’exprimer dans la même langue pour être compris.
Parler c'est échanger, et c'est changer en échangeant. Pour qu'il y ait échange communicatif, il ne suffit pas que deux locuteurs (ou plus) parlent alternativement; encore faut-il qu'ils se parlent, c'est-à-dire qu'ils soient tous deux "engagés" dans l'échange.
 
Le miracle de la conversation est l’ambiance orchestrée ou non entre ceux qui s’entretiennent mais aussi ceux qui entendent, écoutent.
 
La conversation est l’arme contre la solitude. Elle est aussi la source de joie ou de frustration  quand bien vite on manque d’arguments par inculture ou timidité. La psychologie s’immisce dans ce principe social d’apaisement.
En conversant en tout intelligence, on élimine la violence.
La conversation génère l’inquiétude intellectuelle et pour les esprits sages, elle donne envie d’aller plus loin dans sa connaissance sur tel sujet appréhendé, de l’approfondir.
 
La conversation gagne sur l’aberration du repli sur son téléphone pour discuter avec des « textos » ou avec des interlocuteurs lointains alors bien souvent qu’à sa porte son voisin en fait autant.  « Le véritable ennemi de la conversation, c’est le repli identitaire » nous enseigne Emmanuel Godo. Alexandre Jardin dépasse « La cohésion d’une société est proportionnelle à la qualité et  la gaieté des conversations…
Il suffirait de peu pour retrouver de la souplesse, du plaisir d’être ensemble… » Guillaume Villemot complète objectivement: « Chacun multiplie les courriels, en les adressant en copie à une multitude de personnes afin de se couvrir. Les réponses fusent et les mots voient leur agressivité décuplée… » Le fait de ne pas voir son interlocuteur ni d’entendre les intonations de sa voix en sont la raison. Nous sommes encore dans le royaume de la vitesse qui devient vérité révélée. Avons-nous  si peur de la mort pour se contenter de si peu ?  Mais c’est un autre débat.
Allez sur votre pallier pour converser, c’est  plus simple et puis, qui sait, vous découvrirez peut-être un nouvel ami !
 
 
Jean-Yves Couteau
Fondateur-Organisateur Chapiteau du Livre
Premier Adjoint, Conseiller Général,
Conseiller communautaire Tours Plus
 
 
 

"Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur
On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur"

 
Molière demeure homme de raison. Nous cherchons tous moyens pour engager une conversation. La sophistication des outils électroniques ne remplacera jamais cet échange de propos entre une ou plusieurs personnes sur un ton familier. La manière est aussi forte que le fond. La conversation est une forme courante de communication qui permet à des personnes de faire connaissance. Elle génère ou est soumise à l’affectif. Elle devient saveur comme cette pâtisserie qui porte son nom  (« Tartelette ronde feuilletée, fourrée de crème pâtissière aux amandes, couverte de glace royale et garnie de croisillons de pâte »)

« Bien écouter et bien répondre est une des plus grandes perfections que l’on puisse avoir dans la conversation. »(François de La Rochefoucauld, Réflexions ou sentences et maximes morales)

 L’art de la conversation nécessite beaucoup de pratique, mais n’est pas aussi difficile qu’on pourrait le penser. Que ce soit lors d’un dîner, à l’école ou au téléphone, une conversation intéressante démarre lorsque deux personnes ou plus sont sur la même longueur d’ondes et se sentent à l’aise à parler ensemble. Ce n'est pas la conversation qui est indispensable, c'est la communication. Mais il ne suffit pas de s’exprimer dans la même langue pour être compris.

Parler c'est échanger, et c'est changer en échangeant. Pour qu'il y ait échange communicatif, il ne suffit pas que deux locuteurs (ou plus) parlent alternativement; encore faut-il qu'ils se parlent, c'est-à-dire qu'ils soient tous deux "engagés" dans l'échange.

Le miracle de la conversation est l’ambiance orchestrée ou non entre ceux qui s’entretiennent mais aussi ceux qui entendent, écoutent.

 La conversation est l’arme contre la solitude. Elle est aussi la source de joie ou de frustration  quand bien vite on manque d’arguments par inculture ou timidité. La psychologie s’immisce dans ce principe social d’apaisement.

En conversant en tout intelligence, on élimine la violence.

La conversation génère l’inquiétude intellectuelle et pour les esprits sages, elle donne envie d’aller plus loin dans sa connaissance sur tel sujet appréhendé, de l’approfondir.
 

La conversation gagne sur l’aberration du repli sur son téléphone pour discuter avec des « textos » ou avec des interlocuteurs lointains alors bien souvent qu’à sa porte son voisin en fait autant.  « Le véritable ennemi de la conversation, c’est le repli identitaire » nous enseigne Emmanuel Godo. Alexandre Jardin dépasse « La cohésion d’une société est proportionnelle à la qualité et  la gaieté des conversations…

Il suffirait de peu pour retrouver de la souplesse, du plaisir d’être ensemble… » Guillaume Villemot complète objectivement: « Chacun multiplie les courriels, en les adressant en copie à une multitude de personnes afin de se couvrir. Les réponses fusent et les mots voient leur agressivité décuplée… » Le fait de ne pas voir son interlocuteur ni d’entendre les intonations de sa voix en sont la raison. Nous sommes encore dans le royaume de la vitesse qui devient vérité révélée. Avons-nous  si peur de la mort pour se contenter de si peu ?  Mais c’est un autre débat.

Allez sur votre pallier pour converser, c’est  plus simple et puis, qui sait, vous découvrirez peut-être un nouvel ami !

 

MONSIEUR VALLS POURRIEZ -VOUS VIVRE AVEC 700 EUROS ?

ET LA JUSTE REPARTITION ?
 
 
On ponctionne tous azimuts. Où est en le principe de justice, vanté en permanence, par nos amis socialistes. Quand, où ?
Pourriez-vous vivre avec 700 euros par mois, soit 5,6 fois le coût de cirage d’une paire de chaussures !!!!!
Les pensions de retraite des plus modestes sont inadmissibles.
La faute n'est pas conjuguée au passé, mais à aujourd’hui.
Vous avez le pouvoir : il faut vous le rappeler.
Il faut changer les choses et répartir avec plus de justice le montant des retraites. Pourquoi ne pas faire participer les plus aisés avec modestie et re-repartition. Il est impossible de finir les fins de mois, quand on écoute beaucoup de retraités, après une vie de travail, avec la maladie qui devient une compagnie et des couts fixes si importants (énergies-alimentation) ?
Pas de folies possibles, de weekend, pas d’économies !

De plus la suppression de la reversion d'une partie de la pension du mari souvent après son décès à son épouse encore en vie est une arnaque insensée. Ne parlons pas des dossiers retraites à remplir au moment ou l’inactivité s’annonce, un véritable chemin de Croix surtout quand on vous répond de manière insupportable : « On est en retard, votre dossier va être traité dans un mois minimum …. ? Dans ce cas on vit comment quand on ne connait rien dans les rouages aberrants des administrations  surfonctionarisées de Caisses multiples dont la diversité n’est justifiée que par l’ampilation des structures faute de mettre de l’ordre !

Il est temps, Monsieur le Premier Ministre de donner fin à cela.
Ecoutez les témoignages, venez les entendre dans nos provinces.

L’Hôtel Matignon est beau, soyez exemplaire et attentif aux plus modestes.
C’est votre engagement ! Respectez-le.