lundi 27 juin 2011

ALORS ON ATTEND !

Voilà trois mois que la nouvelle majorité socialiste issue de l'ancienne majorité socialiste mais pas avec les mêmes, est en place et on attend. C'est vrai que le département a vécu dans les promesses depuis l'avènement de cet équipage à plusieurs gouvernails, depuis plus de quatre ans.
A l'échelle du temps, rien de grave; à l'échelle du quotidien, on se moque un peu du monde.
Notre argent, si soigneusement récupéré pour des projets vaporeux qui n'ont tenu que l'espace d'une bouffée de cigare, à quoi sert-il ? Quand allons nous mettre une peu de professionalisme dans cette indécision érigée " en guide du socialisme".
Un problème, mon dieu ! ? on se réunit, on réunit, on visite, on écrit, on réfère, on appelle, on brocarde, on se rereunit, on se repositionne, on rereflechit, on touche aux dogmes existentiels du "socialisme-évangelique". En fonction de chacun des "Saints" que l'on révère on s'interroge, la main avec une cigarette allumée, l'air pensif, des lunettes d'écailles sur le bout du nez, la chevelure longue en bataille, cherchant du regard un lointain incertain (evidement on est devant un mur !) agressée par le vent qui vient contredire l'ébauche d'une solution impossible face à un problème:
il ne fait pas beau quand il pleut !
Le socialisme génère l'indécision parce qu'il refuse le chef d'équipe. Il y a cette naïveté juvénile des cours de collège. On rêve de l'élection par les autres pour ne pas choisir soit même. Lâche mais râleur, ne serait pas juste pour tous.
Bougez-vous, bougez-vous pour nous.

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